Ta-Ku fait un nouveau passage remarqué dans la Boiler Room
Faisons simple: on aimerait pouvoir vous rapporter l'intégralité de l'actualité de Ta-Ku. Mais le type est proprement impossible à suivre: entre ses collaborations diverses et variées avec un tas de producteurs/MC qu'on apprécie beaucoup (comme Blu ou Flume), des relectures à la pelle pour des gens tout à fait sympathiques ou des EPs/albums/mixtapes jetés tous les quatre matins, on se demande comment le beatmaker australien garde une pareille forme olympique. Son Soundcloud parlera de lui-même d'ailleurs.
Et a priori ce n'est pas au moment de passer derrière les decks que le bonhomme fait le choix de s'endormir. La preuve, c'est la deuxième fois qu'il est invité dans la Boiler Room, cette fois-ci du côté de Los Angeles. Le DJ y tabasse à grands coups de trap music, de wonky épileptique et de relectures de classiques R&B 90's un auditoire réduit de hipsters ne sachant toujours pas sur quel pied danser - en même temps, c'est bien connu, dans la Boiler Room, on ne danse pas, on pose. Bref, parfait pour vous remettre joliment sur pied après une journée de travail bien pourrie, ou pour bien la commencer. Dans un cas comme dans l'autre, c'est gratuit.