R.I.P. The Child of Lov
“On behalf of the family and as his manager I must announce that Martijn Teerlinck aka Cole Williams aka The Child of Lov aka Sun Patzer is no longer with us. He lived a life of struggle and can now rest peacefully. In his own words: ‘When I was younger, I had a tough time physically. I have seen too many hospital beds. It made me stronger. Makes you realize death is always near, for anyone. And what a wonderful thing life is and how grateful we should be'.”
Voilà le triste message qu'a reçu aujourd'hui le festival batave State-X New Forms, qui devait accueillir la première performance live d'un artiste un brin névrosé dont on avait salué les nombreuses qualités d'un premier album éponyme sorti plus tôt dans l'année sur Double Six (filiale de Domino) et sur lequel on croisait DOOM ou Damon Albarn. Visiblement, le bidouilleur né en Belgique (mais vivant aux Pays-Bas) était malade et son état de santé s'est empiré ces dernières semaines, à un point tel que sa performance au festival susmentionné a dû être annulée. Clairement, c'est un artiste aussi discret que sous-estimé qui tire ici sa révérence de la pire des manières. Tellement discret d'ailleurs, qu'on a complètement oublié de l'inclure dans nos tops de fin d'année alors qu'un tube du calibre de "Fly" l'aurait amplement mérité. Chienne de vie.