C’est sûr qu’on pourrait vous parler de la baston entre Drake et Diddy pour un peu booster notre rating sur les réseaux sociaux, mais franchement, on préfère utiliser votre temps de cerveau pour vous rappeler que c’est dans cinq jours que se termine la campagne de financement pour la troisième saison d’existence du magazine Gonzaï, qui est un peu à la presse écrite ce que Christophe est à la musique populaire : une anomalie magnifique.
Cela fait déjà quelques semaines maintenant que la campagne a été lancée sur Ulule et à l'heure où l'on publie ces lignes, il manque encore 4.000 euros pour que Bester Langs et son crew de salopards se lancent dans une nouvelle année de papiers bien branlés et de bouclages apocalyptiques. Pour 42 EUR (c'est une formule parmi d'autres, mais ça vous donne une idée), vous n'êtes pas volés sur la marchandise: les cinq numéros du bimestriel et un hors-série qui reprendra les meilleurs articles parus sur le site web.
Alors on va arrêter de craquer du LOL cinq minutes et on va vous mettre un peu face à vos responsabilités, bande de radins: à longueur d'année, on ne fait que chier dans les bottes de la presse en français, alors qu'il y a des rédactions comme celle de Gonzaï pour se sortir les doigts du cul et se bousiller la santé dans le seul but de produire du contenu 100 % indépendant et de qualité. Alors oui, c'est génial l'internet, tout est gratuit et tout ça. Mais on sait tous ce que c'est pas vrai. Alors si vous voulez vous sentir utile en cette fin d'année, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Pour vous abonner à Gonzaï, c'est par ici que ça se passe.