Et il tient à le faire savoir. Rien d'étonnant, vu sa récente exclusion du territoire de la Grande-Bretagne au motif qu'il aurait écrit des paroles trop violentes. "Fuck it" est donc un gros défouloir pour Tyler qui balance tout ce qu'il a dans la tête, d'une manière qui évoque davantage les heures les plus sombres de Goblin (voire même de Bastard) que celle de Cherry Bomb. Et tout le monde en prend plein la tronche dans ce titre sorti de nulle part. Et curieusement, on se surprend à beaucoup aimer ce qu'il raconte : le titre rappelle cette époque où Tyler se caractérisait avant tout par son irrévérence, qui, si elle pouvait parfois être usante, avait quelque chose de rafraîchissant.