par le 1 janvier 1970
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Ca valait bien la peine de signer sur une major et d’enquiller les reports. En effet, en totale bisbrouille avec son label Island, Angel Haze a décidé de se la jouer « à la Death Grips », d’envoyer chier les cadres de la structure, et de se fendre d’une diatribe sur Twitter, suivie d’un lien permettant d’écouter intégralement son Dirty Gold, qui ne devait sortir que début mars. Un cadeau de Noël avant l’heure pour pas mal de monde, et plus que probablement un aller simple vers le purgatoire de l'industrie musicale pour la emcee new-yorkaise.