Clic clac merci Alex Stevens
Clic clac merci Kodak. Un slogan publicitaire qui ne pourra parler qu’à celles et ceux de nos lecteurs qui ont connu l’âge béni des appareils jetables, que nous allions récupérer fébrilement chez le photographe en espérant, dans le meilleur des cas, ressortir avec quelques clichés pas trop pourris. Ces appareils, on le trouve aujourd’hui à peu près aussi facilement dans la grande distribution que des cassettes TDK Chrome de 90 minutes. Mais parce qu’il n’y a pas plus coupable comme plaisir, et que vous n’avez certainement pas envie de voir nos photos de vacances, on a décidé de refiler des appareils jetables à des gens que l’on aime bien. On récupère l’objet, on développe, et on publie. Après quelques artistes qu’on aime bien (Rone, Girls in Hawai, Mac Demarco), c’est à une des têtes pensantes de la programmation du Dour Festival que nous avons confié un jetable tout-terrain. Il l’a baladé pendant les 5 jours de festival sur la Plaine de la Machine à Feu, pour nous donner un aperçu de l’intérieur. Sans commentaires. Mais avec un peu de boue et de poussière.